SOLOS & GROUPES


PRIMAIRE

PRIMAIRE visuel
Armé d’une guitare double manche, deux amplis et quelques objets, Thomas nous embarque vers des sphères inattendues. Entre composition et improvisation, ce solo s’alimente de musiques ethniques (Balouchistan, Bassin méditerranéen, Namibie…) détournées dans un format contemporain empruntant aux musiques expérimentales et au rock progressif. Une musiques inclassable échouée quelque part entre les plaines de mongolie, Fred Frith, l’Atlas et Godspeed You ! Black Emperor. 

« Primaire » a été joué une trentaine de fois en France et à l’étranger, dans des festivals (« Musiques innovatrices » 2014, « Delco » 2014, « And on the other hand », « Les petits chahuts itinérants »…) ou en salle (« Grim », « Cafe jazzorca », « Kraspek mysik »…). « Primaire » a pu partager la scène avec Ghédalia Tazartès, le duo Barre Philips/ Catherine Jauniaux, « Par le Boudu » de Bonaventure Gacon, Mr le Directeur, Ultralyd, Masters musicians of bukkake… Ce projet a reçu l’aide de l’A.M.I. (Marseille), Le Théâtre du Périscope, Le Théâtre du chapeau rouge (Avignon), La Milonga del Angel (Nîmes), de Gregory Cosenza et de Vincent Capes.

En Ecoute ici :

https://cassauna.bandcamp.com/album/p-r-i-m-a-i-r-e

 

Extraits vidéo :

 

Road trip-documentaire de Bertrand Monboisset sur Primaire au Festival des musiques innovatrices de St Etienne en 2014.

CASSETTE DISPONIBLE SUR LE LABEL AMERICAIN IMPORTANT RECORDS 

cassette

http://importantrecords.com/cassauna

CD DISPONIBLE SUR LE LABEL THODOL

http://www.zoanima.fr/thomas-barriere-primaire/

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Enregistré et mixé par Matéo Mannoni (Infernale Machine) dans la chapelle Saint Felix à Béziers (34)

Masterisé par Taylor Deupree (12 K Mastering)

accompagné de 4 tirages photos de Nina Reumaux

http://nina-reumaux.blogspot.fr/

PRIMAIRE

1 brume

forêt ninaile

Mini dvd aux éditions Venus d’ailleurs et Anima

PRIMAIRE2http://venusdailleurs.over-blog.com/search/primaire

 

 

 

 

QUELQUES CRITIQUES :

L’album vu par J-KRISTOFF CAMPS
Premier CD (maintenant aussi sur K7 www.importantrecords.com/cassauna) de Guitare solo de Thomas Barrière.
« No loops, no overdubs », précise-t-il sur la pochette.
Comme une fierté d’avoir joué cela d’une seule prise, en direct.
Une dextérité à afficher, sans doute issue de son passé de musicien de cirque (chez Trotolla) où l’on imagine mal un acrobate avouer son triple flip avec l’aide d’un harnais et longe, découpé dans trois moments différents du spectacle ou pour lequel il faudrait revenir 3 soirs pour apprécier la figure triple dans son intégralité.
Le guitariste joue avec ses 2 mains.
2 mains, alors évidemment : 2 manches. Ce qui lui permet de jouer simultanément sur une douze cordes et un six cordes – guitare Epiphone avec micros Seymour duncan, et donner l’illusion d’un 4 mains. Voire d’un véritable duo !
Si l’on ajoute les deux pieds qui agissent sur des pédales de volume ou de distorsion vers 2 amplis, cela donne un instrument guitare assez élargi.
Et en plus avec sa voix chantant dans le manche de la guitare elle même !!! Cela fait pas mal d’accès à l’instrument.
Enregistré dans une chapelle qui ne manque pas de réverbération, dès le premier morceau, on sent le désir et plaisir de faire « durer » les sons, parfois même de travailler sur le continuum, dans cet album à la logique musicale souvent « contemplative ». L’électricité, puis la pédale disto et le larsen avaient déjà bien amélioré la situation du « sustain » depuis la guitare espagnole de Ségovia, avec ses tremolos ou rasgueados. Bien qu’il joue aussi sur ce disque du hautbois marocain, il ne pratique pas le souffle continu. D’ailleurs est-ce vraiment utile pour la guitare ? (Quoique Pascal Battus le fera bien un jour dans les micros de sa guitare J). C’est un archet – électronique ou en crin de cheval, des baguettes chinoises qui lui donnent ce possible flux.
Une question me travaille : est-ce parce qu’il a enregistré dans une chapelle à Béziers ville si friande d’opérette, qu’il s’est mis à chanter dans la guitare ? Ou bien, est-ce en essayant de jouer avec les dents comme Hendrix, une réaction vocale de douleur en se coinçant la langue entre les cordes ?
Vu par PIERRE DURR

Thomas BARRIÈRE n’est pas, à proprement parler, un nouveau venu sur la scène alternative avec sa guitare, bien que ce Primaire soit son premier opus en soliste : il pratique son instrument depuis une bonne vingtaine d’années, et son orientation vers les musiques expérimentales s’est faite à l’aube de ce siècle, notamment par le visionnage du film Step Across The Border. Il est vrai que son travail (on a pu le voir et l’entendre en juin, au festival des Musiques innovatrices de Saint-Etienne) peut sembler apparenté à l’approche d’un Fred Frith, voire d’un Paolo Angeli. Là où ce dernier pratique une guitare sarde préparée, Thomas BARRIERE use lui d’une guitare à deux manches, respectivement de douze et six cordes, ce qui lui permet d’associer, de juxtaposer des sonorités diverses, parfois soutenues par quelque objet, de croiser diverses manières d’aborder l’instrument, avec une dextérité et un savoir-faire évident : les cordes sont triturées, frappées, caressées, frottées… Si certains sons semblent distordus et parfois étonnants, l’ensemble s’inscrit toutefois dans des trames simples, assez linéaires voire plutôt mélodiques, pour proposer une sorte de libre détournement d’influences diverses qui vont du rock au blues en passant par quelques ethniques.

« Revue et corrigée » (numéro 101)
Vu par VINCENT CAPES
Dans son livre sur l’improvisation, le guitariste anglais Derek Bailey écrit : « Continuer d’improviser en solo de façon intéressante est une entreprise ardue. Même s’il devient plus facile de jouer seul, il ne devient pas plus facile pour autant d’improviser. »
Bien que le style de Thomas Barrière soit reconnaissable, il montre une capacité remarquable à non seulement se tordre et inventer des sons complètement nouveaux à la guitare, mais il tente de trouver de nouvelles approches à l’improvisation individuelle.

 


A L G E C O W (Break noise circus pop)

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DSC03065Photo © Marco Parronchi

Groupe étrangement burlesque, délicieusement décalé, Algecow se joue des codes et brouille les pistes. leur musique sans étiquette est une mosaïque composée de fragments de New-wave post-punk chère aux figures emblématiques des années 80 comme The Cure ou Joy Division, aussi bien que des climats tutoyant The Residents, Tom Waits, Volcano the bear, God Speed You Black Emperor ou Roof.

Algecow a eu l’occasion de se produire en France et en Belgique, notamment aux festivals « Gare aux oreilles » 2012, Mimi 2013,« Baignade toujours interdite » 2013…

Le duo reçoit le soutien de L’A.M.I. (Marseille), le collectif Inoui (Avignon), Le Cirque Trottola et Bertrand Montboisset.

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Bastien Pelenc : Chant, Claviers de toutes tailles, toy piano, jouets, objets
Thomas Barrière : Guitare double manche (six cordes/mandoline), grosse caisse,
caisse claire, Bidon d’essence, toy piano, jouets, objets

Gregory Cosenza : Ingé son

 

FRONT OK

1er album LA TIGRADA  en cd et vinyle !!!

Pochette de THEO ELLSWORTH !!!

https://algecow.bandcamp.com/

 

2ème ALBUM !!

                          CADOWS 

Chez THODOL records !!

https://thodolnetlabel.bandcamp.com/album/cadows

pochette cadows

 

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Et aussi

 

 

DEMO 3 Titres A L G E C O W
Enregistré, mixé et masterisé par Gregory Cosenza au Miège Boal, Le Thor
Edité par venus d’ailleurs
Graphisme : Y.A.Gil

 

 

LE LIEVRE LUNAIRE :

« L’appellation évoque un univers en chantier, interzone de friches vipérines, où poussent l’euphorbe vivace et la construction modulaire aux senteurs migratoires et transit saturnien. On sait que l’euphorbe produit du latex, un lait toxique. Algecow serait de même essence, du même grain issu — antidote de la musique aseptisée. Mais c’est aussi ce suc s’écoulant des mamelles de la vache, ou de la semence pulsée du taureau blanc Apis.
Algecow est un produit de ferme industrielle déréglementée désirant farouchement retourner à la vie sauvage, un produit d’hybridation « alchimérique », porteur d’une énergie chamanico-cataleptique. Toujours prêt à la bigarrure, les deux bonshommes, la tête dans le bidon, gardent un air d’enfance « fanfaraonique », extrait à volonté de leur mine de fer aimanté. Off limits. Revenus de l’âge de pierre, ils font tourner leur meule à aiguiser et apportent avec eux le chant d’algue frappée, des accords 
de croupe délicieusement fouettée, une langue verte qui marie le bon du bond, l’abrupt et le tonitruant. Archaïque autant qu’arcadienne, la musique d’Algecow réveille en nous les bruits de la forêt primordiale : elle a la beauté évidente du veau marin par nature élevé sous la mer, du blues pur coton, mais conjuguant l’apport de matières synthétiques de claviers intempérants et rythmes épicés dépassant allègrement la mesure. Addobbo ! Votre lièvre précieux adoube illico les derviches d’Algecow, Thomas Barrière et Bastien Pelenc, deux fiers chevaliers de la Fable ronde. »

GUIGOU CHENEVIER :

« Comme dirait Dominique Grimaud, voilà La jeune garde ! Bastien Pelenc et Thomas Barrière sont en effet deux jeunes musiciens particulièrement inventifs et doués, qui de plus, sont dotés d’un solide sens de l’humour (ce qui ne gâte rien). A L G E C O W a inventé un genre de Skeleton Crew kitsch et comeladien sans le savoir. Ils sont tous les deux multi-instrumentistes. Ils jouent du jerricane grosse caisse, de la trompinette plastoc, du clavier vintage, de la guitare, du yukulélé, du piano jouet etc… Pour Inouï, il est donc tout naturel de les inviter à cette onzième édition du festival. Comme Ifif Between avant eux, nous sommes persuadés que ces deux-là iront loin. L’expression est un peu vieillotte. Sauf que pour Bastien et Thomas, elle s’applique plutôt au pied de la lettre : en camion, en avion, en roulotte ou en Algeco modulaire à roulettes, ils sillonnent déjà le monde avec leur duo, ainsi qu’avec divers projets plus créatifs les uns que les autres.

»

LA PROVENCE :

« On a découvert ALGECOW, duo avignonais qui comme Frank Zappa and the mothers of invention fait de la musique sérieusement sans se prendre au sérieux. Synthétiseurs, boucle, guitare électrique, tout est bon. »

 


MARUZZELLA

MARUZZELLA

Photo © Jeanne Maigne

« Maruzzella », quintet de musique du monde de bon goût sous la direction de Sara Giommetti (chant), avec Bastien Pelenc (violon, clavier), Gabrielle Gonin (contrebasse), Emmanuelle Ader (accordéon) et Thomas Barrière (guitare et batterie).

Le projet Maruzella est né d’une rencontre de musiciens passionnés, curieux, riches d’expériences et soucieux de partager la même envie : revisiter le répertoire musical folklorique, ethnique, traditionnel avec les sonorités et les techniques d’aujourd’hui. La chanteuse Sara Giommetti et ses musiciens ont alors sélectionné plusieurs compositions étonnantes pour leurs mélodies, leurs langues, et leurs rythmes. Ils créent ainsi un univers de poésie auxquels nous sommes sensibles. Nous voyagerons ainsi de pays en pays avec des chants italiens dont une tarentelle (Tarentella del Gargano) et le célèbre Cu tti lu dissi, un fado d’Amalia Rodriguez, un instrumental éthiopien, un chant sépharade (Durme querido Hijico), un chant japonais (Itsuki), une zamba argentine (Azabache), un traditionnel français (Rossignolet du bois joli), une chanson de Jacques Brel (Sur la place)…


EPILEPTIK GRAMOFON

EPILEPTIK

Graphisme : Lucien Gaudion

Trio de free groove rock explosif composé de Benjamin Chaval (batterie), Thomas Barrière et Sofiane Remadna (basse).

Lors de leur premier concert en 2005, ils jouent 2h30 sans s’arrêter.
Le trio déborde d’énergie et de complicité.
Le groupe fait quelques tournées en France et en Belgique et invite différents musiciens ; Bart Maris, Marti Melia, Nicolas Ankoudinoff, Yann Lecollaire, des danseurs ; Gustavo Miranda et Yvan Bertrem.

En savoir plus :
http://myspace.com/epileptikgramofon